Une question d'écologie
Devenus le symbole du consumérisme irresponsable, les sacs jetables sont à présent en "voie de disparition". Partout à travers le monde de nouvelles politiques régulatrices s'appliquent à enrayer leur surconsommation. La production de ces sacs à usage unique amorce un déclin. Les régions qui ont pris les devants ont déjà trouvé une solution alternative à la fois efficace et dont l'écobilan est positif : les sacs réutilisables.

Le monde à la recherche d'alternatives
Certains pays et municipalités en ont déjà interdit la distribution et/ou la production des sacs de caisse. Et parfois c'est l'usage qui est pénalisé, même lorsqu'il s'agit de sacs biodégradables!

Parmi ces "précurseurs" on peut citer la Tanzanie, le Bangladesh, Paris, Taiwan, quatre Etats de l'Inde, l'Afrique du Sud, San Francisco etc. Bientôt, l'ensemble du territoire français appliquera une fermeté similaire (dès 2010). D'autres législateurs ont opté pour des taxes décourageant la surconsommation des sacs de caisse. L'Irlande par exemple et avec un succès remarquable puisque la "Plastax", introduite en 2002, a réduit la distribution des sacs à usage unique de 90% en une seule année! De nombreux pays se sont déjà inspirés de cette méthode, et d'autres vont l'adopter à leur tour, notamment la Chine dès 2009.

Sa propre usine en Chine
Une équipe qualifiée et 300 ouvrières se chargent en permanence du bon déroulement de la production, tant dans le respect des délais que dans la qualité des sacs. I'LL BE BAG, dont le siège est installé à Bruxelles, se porte garant de chacune des étapes de production et d'acheminement.

Des normes éthiques optimales
L'usine chinoise de XU YI est en cours de certification SA8000 (normes internationales sociales et environnementales). Elle est d'ailleurs régulièrement auditée sur requête de divers clients et à chaque fois les résultats sont positifs.

I'LL BE BAG encourage vigoureusement ses clients (ou le bureau de certification de leur choix) à venir vérifier du bon respect des normes qu'elle s'est imposée.

Un contrôle de qualité rigoureux
La qualité de chaque nouvelle production est dûment vérifiée et les produits qui présentent le moindre défaut sont immédiatement retirés. Un contrôle indépendant supplémentaire avant l'envoi peut-être commandité par le client auprès d'experts tiers.

Des sacs "customisables"
L'offre initiale de I'LL BE BAG consistait en des sacs réutilisables en toile de jute, en coton ou en PVC. A présent elle propose exclusivement des produits en polypropylène tissé (PP) ou non-tissé pour des raisons de résistance et d'impact écologique. Aujourd'hui, au terme de nombreuses études, I'LL BE BAG est fier d'annoncer que de nouveaux sacs en PET recyclé sont à présent disponibles (voir plus bas).
L'ensemble de la gamme de produits I'LL BE BAG est personnalisable avec les visuels les plus techniques et en respect des couleurs pantone.
Les formes, tailles, anses et modes de fermetures sont au choix du client et l'ensemble des paramètres permet des milliers de modèles différents.

Les sacs réutilisables véhiculent une image positive
Les sacs I'LL BE BAG mettent en valeur les marques qu'elles arborent. D'une part en permettant des illustrations riches en couleurs et d'autre part en connotant des valeurs écologiques. A titre d'exemple : Marks & Spencer (qui n'est pas un client I'LL BE BAG) a récemment conduit une étude de satisfaction auprès de ses consommateurs : ceux-ci ont été 85% à répondre que l'offre de sacs réutilisables est un plus pour l'image de Marks & Spencer.

Le sac I'LL BE BAG le plus écologique
L'usage régulier d'un seul sac I'LL BE BAG permet l'économie de plus de 300 sacs jetables, soit la consommation annuelle d'un habitant moyen du monde industrialisé.

I'LL BE BAG propose depuis quelques temps des sacs encore plus écologiques, composés à 80% en PET recyclé. Cela a pris un an de recherches. Et les progrès en la matière ont continué : des sacs 100% PET sont maintenant disponibles et tout aussi solides!
Le bénéfice pour l'environnement des sacs en PET recyclé est double. En début de chaîne, ils participent à la revalorisation des déchets et en fin de chaîne ils contribuent à réduire le nombre de déchets.
De plus, selon l'Environmental Protection Agency, les produits fabriqués à partir de PET recyclé requièrent 2/3 d'énergie et 90% d'eau en moins.

Autre point en faveur de ces sacs : le consommateur ne distingue pas de différence entre le PET vierge et le PET recyclé (étude menée par le "Waste & Ressources Action Program" au Royaume-Uni).
Actuellement, la gamme PET est disponible par commandes de 50 000 exemplaires au minimum alors que les sacs personnalisés en PP tissé et non-tissé sont quant à eux disponibles à partir de 5 000 unités. L'offre PET cible pour le moment les grands de la distribution mais au vu de la demande incessante et grâce à de nouveaux équipements, ils seront bientôt proposés en quantités plus accessibles.

En s'implantant suffisamment tôt et avec force dans le secteur des sacs réutilisables, I'LL BE BAG s'est assurée un avenir radieux. Elle est connue des grands de la distribution en Europe comme en Amérique du Nord et sa marque est à la fois claire, séduisante et capable de traverser les frontières.
Son offre ne cesse d'évoluer, tant en qualité qu'en esthétique. Et toujours dans l'optique d'un développement durable, à l'image des nouveaux sacs 100% PET recyclé.

Mais la véritable force de la jeune division réside dans sa fiabilité. D'une part, le siège de la marque se trouve en Europe (à Bruxelles) et d'autre part, l'expérience acquise avec le marché chinois, ses partenariats en direct avec les usines et surtout la détention de sa propre filière de production, sont autant de garanties pour les clients I'LL BE BAG.

Constitué à 100% de PET¹ recyclé, ce sac offre une seconde vie à nos bouteilles en plastique. Celles-ci sont collectées, traitées et transformées jusqu'à l'obtention d'une toile imprimable en 4 couleurs. Une gamme de sac - 80% PET -, "customisable" à l'envi, est également disponible. Ultra résistant, le sac en PET conçu pour des charges de 25 kg en mouvement. Réutilisable et personnalisable à l'envi, il constituera un vecteur de communication idéal pour une marque, une compagnie ou une organisation. Il représente également un véritable engagement vers un développement durable : 100 utilisations éviteront la production de 300 sacs plastique jetables, soit une économie significative de matière première et d'énergie.

Le Sac réutilisable – LA réponse durable aux préoccupations environnementales actuelles
Le sac réutilisable, comme son nom l'indique, est aux antipodes du sac jetable. Il se présente comme la meilleure alternative aux sacs de caisse à condition qu'il soit effectivement réutilisé. Son coût de production est faible au vu du nombre d'utilisations qu'il permet et les ressources mobilisées pour sa composition et fabrication sont moindres.

Paradoxe : les nouveaux sacs payants, achetés 10 cents dans nos grandes surfaces, requièrent au moins cinq utilisations chacun avant de présenter un meilleur écobilan que celui de leurs prédécesseurs jetables. Or, aujourd'hui ils sont encore rarement utilisés plus de deux fois! Si l'on veut faire justice à la philosophie du sac réutilisable, il faut dûment le réutiliser. Certains modèles sont suffisamment solides pour servir des années durant. D'autres sont pliables et se glissent facilement dans les sacs à mains. Mais tous requièrent une certaine discipline de la part de leur utilisateur. Par conséquent, il est indispensable de sensibiliser le public afin qu'il adopte un comportement responsable.

La problématique du "sac de caisse"
3 milliards... Un chiffre extravagant reflétant, jusqu'il y a peu, la surconsommation annuelle belge de sacs plastique jetables. Conçus pour un usage unique, certains sont réutilisés pour habiller les corbeilles mais la plupart finit directement au centre d'enfouissement ou à l'incinérateur. Leur légèreté, leur souplesse, leur résistance et la gratuité de leur distribution, expliquent à la fois leur succès planétaire… et leur surconsommation.

Lorsqu'il a servi, le sac plastique finit à l'incinérateur ou sur un site d'enfouissement². L'espace qu'occupent les sacs de plastique, bien que peu significatif comparativement aux autres matières résiduelles éliminées, a pour effet de réduire la durée de vie des centres d'enfouissement. À l'incinération, les sacs plastiques représentent une bonne valeur calorifique et génèrent peu de gaz à effet de serre. Toutefois, leur combustion peut libérer des polluants atmosphériques tels que le monoxyde de carbone (CO), les oxydes d'azote (NOx), les oxydes de soufre (SOx) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP)17. Des dispositifs sophistiqués de filtration permettent de réduire ces polluants.

Sac jetable: 400 ans pour se décomposer
Les matières "plastique", fabriquées à partir de pétrole ou de gaz naturel, jouissent d'une longévité extraordinaire. Chimiquement stable et inerte, le type de plastique utilisé pour la fabrication du sac plastique conventionnel – le polyéthylène – est non polluant en termes de contamination de l'environnement. A terme, ses molécules finiront même par se biodégrader...

Mais après plusieurs siècles! La résistance et la disponibilité de ces sacs sont, à la fois, à l'origine de leur succès et de nombreux problèmes environnementaux.

Pollution visuelle : négligemment abandonnés, les sacs plastiques sont emportés par le vent et se retrouvent partout dans la nature, gâchant ainsi les paysages. En s'accrochant à la végétation, ils ont acquis les surnoms de "drapeaux national" en Irlande et de "fleur nationale" en Afrique du Sud.
Impact sur les écosystèmes terrestres et marins : poissons, dauphins, baleines, tortues, et oiseaux sont particulièrement touchés par la surabondance des sacs plastiques égarés. Beaucoup meurent étouffés en confondant le plastique avec de la nourriture.

Une prise de conscience collective
La prise de conscience environnementale générale de ces derniers mois a placé le sac plastique à usage unique dans la ligne de mire du gouvernement et du public. Face à un tel engouement, les principales enseignes de la grande distribution ont récemment banni de leurs caisses les sacs plastiques jetables, désormais politiquement incorrects.

Les sacs en papier ?
Le sac en papier présente les avantages d'être recyclable dans tous les centres de tri belges et de se dégrader rapidement en milieu naturel. Cette option est loin d'être une solution durable : sa fabrication mobilise d'importantes ressources forestières et son recyclage requiert de grandes quantités d'eau. En outre, son volume nécessite des espaces d'entreposage plus importants et augmente les coûts en carburant liés à son transport. Enfin, ne résistant pas à l'humidité, le sac en papier jouit d'une longévité aléatoire.

Les sacs biodégradables ?
Un deuxième type de sac plastique, composé lui aussi de polyéthylène, est qualifié de biodégradable. Il est "oxydégradable" pour être plus précis. Des additifs accélèrent le processus de dégradation en le rendant "fragmentable". Les particules invisibles de plastique libérées dans les sols ne sont toutefois pas "assimilées" par la nature. De plus, l'impact des additifs sur l'environnement n'est pas encore évalué.

Ce sujet demeure controversé et mérite une attention particulière. En termes de coûts, les sacs "biodégradables" sont plus chers à produire que les sacs plastique conventionnels et mobilisent d'importantes ressources en eau. A cela s'ajoute un réseau de distribution encore peu développé.
Les sacs réellement biodégradables sont, quant à eux, constitués d'amidon de maïs ou de pomme de terre, de soja ou autres. Ils recourent cependant à l'usage de pesticides et d'O.G.M. pour des questions de productivité. Leur bénéfice est surtout discutable d'un point de vue éthique. Une production massive de ces sacs entrainerait une hausse des prix agricoles, rendant nombre de denrées vitales inaccessibles aux populations les plus nécessiteuses.
Le sac réutilisable en PET recyclé apparaît donc comme la meilleure alternative, sa matière première provenant, à 80% voire à 100%, de déchets valorisés. Son mode de fabrication et d'utilisation répétée maximisera l'économie d'énergie et contribuera à la préservation de l'environnement.